Le Groupe Protec est constitué de 7 filiales spécialisées dans différents domaines de la prévention et de la sécurité. Il dispose d’un maillage de 7 agences en France et 1 en Principauté de Monaco qui emploient plus de 700 salarié(e)s.
Les activités du groupe : Sécurité Humaine, Télésurveillance (Station certifiée APSAD P3), Installation de systèmes de sécurité (Alarme, Vidéosurveillance, Contrôle d’accès), Nouvelles technologies (Surveillance de sites et d’événements par drones et solutions anti-drones), Protection rapprochée y compris avec armes de catégories B et D, Centre de formation sur les métiers de la prévention et de la sécurité.
Présentation du PDG : Gil ANCELIN a créé (1999) et développé le Groupe Protec au cours des 20 dernières années pour le hisser parmi les leaders du secteur sur les prestations de sûreté et de sécurité humaine. Il est Expert diplômé en protection des entreprises, intelligence économique et sûreté internationale par l’Institut National des Hautes études de la Sécurité et de la Justice (INHESJ) et l’Ecole de Guerre Economique (EGE).
En parallèle, il participe toujours activement à la réserve de la Gendarmerie Nationale en tant que Commandant de réserve citoyenne. Conscient des enjeux à venir pour la profession, il participe aussi aux actions mises en place pour faire évoluer les métiers de la sécurité et de la sûreté en partenariat avec d’autres acteurs nationaux : membre cofondateur du Consortium Sécurité Privée, et du GES.
Pourquoi vous être associé au Projet Consortium ?
Ce projet est avant tout une aventure humaine avec des chefs d’entreprises que je côtoie et respecte depuis de nombreuses années.
Nous nous sommes rencontrés au sein du Conseil d’Administration du SNES avant que cet organisme ne fusionne avec l’USP pour devenir le GES. Face à la demande forte provenant des grands donneurs d’ordres pour ouvrir la concurrence au-delà des grands acteurs nationaux du secteur dont l’organisation manque d’agilité et d’encadrement local, nous avons décidé de nous réunir à 12 sociétés associées à parts égales pour créer le Consortium. Cette structure innovante permettait de couvrir la quasi-totalité du territoire tout en offrant aux clients un interlocuteur unique et des structures d’encadrement et de suivi des prestations de proximité.
Quel futur envisagez-vous pour le Consortium ?
Le démarrage a pris du temps car il a fallu convaincre et faire accepter cette association d’entreprises locales auprès des potentiels clients. Nous n’étions ni un groupe, ni une multinationale mais un OVNI dans le paysage de la sécurité privée et les services des achats nous ont observé pendant 2 à 3 ans avant de nous faire confiance pour nos premiers marchés. Aujourd’hui, les clients sont satisfaits, le niveau de qualité des prestations est homogène sur l’ensemble du territoire et nous avons trouvé notre vitesse de croisière.
Notre taux de consultation étant en constante progression, nous sommes sereins sur l’évolution de notre chiffre d’affaires au cours des 5 prochaines années.
En parallèle, nous avons dupliqué le modèle du Consortium sur les prestations technologiques et ce cluster trouve une réponse très favorable auprès des clients et acteurs du secteur.
Face à ces deux premiers succès, il n’est pas exclu que nous continuions à le dupliquer sur d’autres activités liées à nos métiers comme la formation.
Quels sont pour vous les forces du CSP ?
Nous sommes dans une logique de gagnant/gagnant avec nos clients mais également avec les nouveaux membres qui nous rejoignent.
Notre centrale d’achat est un atout indéniable qui nous permet de conclure des partenariats avec des fournisseurs de premiers plans.
Pour les clients, notre force reste la capacité de proposer des prestations normées et structurées au niveau national tout en conservant l’agilité d’un partenaire de proximité.